aider moi c'est vraiment urgent c'est pour demain faut juste présenter JOAN PEIROS aider moi a présenter cette auteur s'il vous plait
Informatique
brunette14
Question
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2 Réponse
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1. Réponse valounette2002
Joan Peiró Belis, né le 18 février 1871 dans le quartier ouvrier de Sants, à Barcelone, est un syndicaliste libertaire espagnol.
Il fut Secrétaire Général de la Confédération nationale du travail clandestine dans les années 1920 puis ministre de l'Industrie dans un gouvernement à majorité communiste pendant la Seconde République.
Après son exil à Paris, il est fusillé par le régime franquiste le 24 juillet 1942 à Paterna (Valencia, Espagne).
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2. Réponse 5lmc6
Prénom : Joan nom : Peiró
Date de naissance : 18 février 1887Lieu de naissance : Barcelone, Espagne
Date de mort : 24 juillet 1942Lieu de mort : Paterna, Espagne
Prénom de leur 7 enfants : (Joan, Josep y Liberto , Aurora, Aurèlia, Guillermina y Mercè)
Joan Peiró travailler a barcelone dans une fabrique de verre, il n'apprend ni à lire ni à écrire avant ses vingt-deux ans , il est donc alnaphabete . Il se marie avec mercè Olives , ouvrière dans le textile , ils ont 7 enfant donc trois fils .Il commence sont activité syndicaliste en 1906 , il passe pour la premier fois a des fonctiond de responsable en 1916 , comme secrétaire ( secrétaire general de la fédération espagnole des vitriers et cristalliers ) , directeur des périodiques la colmena obrera et ( organe de la fédération des vitriers ) .En 1930 il change , Peiró devient ensuite directeur de publications , donc le quotidien solidaridad obrera puis le catalunya Influencé par le syndicalisme révolutionnaire francais ,il joue un role dans la branche catalane de la CTN à partir du congrès de sants , en 1918 .En 1919 , il défend les fédérations syndicales industriellesQuelque temps aprés en 1920 , joan comis deux attentats , il est arrêté et emprisonné à soria puis emprisonné à victoria .2 ans plus tard il est élu secrétaire général de la cnt , il deside de rejoindre l'Association internationale des travailleurs . Il est trés critiquer par les secteurs les plus orthodoxes de l'organisation .Peiro s'installe à mataro en 1922 , il dirige 3 ans plus tars la mise en place de la cooperative de verre cristalleries de mataro , donc il avait deja essyer plus tard .Lorsque Primo de Rivera arrive au pouvoir, la CNT devient illégale, ses locaux sont fermés et ses publications suspendues. Beaucoup de ses militants sont arrêtés - Peiró est emprisonné à trois reprises, en 1925, 1927 et 1928. Cette dernière année, il est à nouveau élu secrétaire général de la CNT.Il critique l'UGT pour sa participation aux conseils d'arbitrage mixtes sous la dictature. Il défend l'idée d'une organisation de masse, principalement orientée vers l'activité syndicale, et s'oppose aux plus anarchistes du mouvement, aux groupes d'action ; il adhère à la FAI, mais n'y milite pas.
La Seconde République et la Guerre civile[modifier | modifier le code]En 1930, il signe le manifeste Inteligencia Republicana et fait l'objet de nombreuses critiques internes, qui le conduisent finalement à se rétracter. Il défend les fédérations syndicales industrielles jusqu'en 1931, au congrès de Madrid, où il parvient à obtenir d'importants soutiens face aux thèses de la FAI. Lors de ce même congrès, il promeut une motion intitulée Posición de la CNT frente a las Cortes Constituyentes (Avis de la CNT quant aux Cortes Contituyentes - Assemblée constituante), dans laquelle est exprimée l'idée selon laquelle l'avènement de la République pourrait représenter une avancée pour les classes laborieuses. Cette motion est finalement adoptée avec quelques modifications, malgré l'opposition de la FAI qui y voit un soutien aux mécanismes politiques bourgeois.En 1931, avec vingt-neuf autres membres éminents de la CNT - entre autres Ángel Pestaña - il signe le Manifiesto de los Treinta (Manifeste des Trente ou trentisme), analyse de la situation économique et sociale espagnole où sont critiqués aussi bien le gouvernement républicain que la frange radicale de la CNT. Les représentants de cette dernière tendance obtiennent la démission de Pestaña de son poste au comité central du mouvement, et provoquent le départ des syndicats de Sabadell, suivis par d'autres qui constituent un groupe appelé "syndicats d'opposition". Peiró prend part à la scission, sans y jouer un rôle majeur, et tente d'éviter la rupture définitive. La réunification des deux tendances a lieu en 1936.